A LOmbre Des Maris Série 2 Septième Partie : Farida, Salah Et Moi
Après avoir pris ensemble une douche rapide, Farida, qui ne voulait pas que je
remette mes habits, me montra du doigt une sortie de bain bleue, accrochée derrière la
porte de la salle de bain et me fit signe de la porter. Pas très à mon aise, je men
revêtis et attendis que Farida terminât de se sécher les cheveux à laide dune
serviette quelle enroula avec art autour de sa tête, et quelle revêtit elle-aussi
une sortie de bain, pour rejoindre, la main dans la main, tels des amoureux, la
cuisine où nous attendait son mari. Salah, qui avait gardé son tablier de cuisinier,
nous reçut avec le même sourire que tantôt, quand il était venu nous annoncer que le
dîner était prêt et quil avait embrassé tendrement sa femme qui venait juste de faire
lamour avec moi.
La table de la cuisine avait été préparée avec soin pour le dîner. Salah me fit assoir
à la droite de Farida, qui navait pas lâché ma main Lui-même sassit en face en face
de nous. Il navait pas dit un seul mot depuis notre retour dans la cuisine. Il se
contentait de gestes pour nous indiquer de nous assoir, puis de manger. Farida et
moi, qui sans nous lavouer, étions impressionnés par la présence et le comportement
du mari, avions suivi ce dernier dans son silence. Le comportement de Salah était pour
moi, un vrai point dinterrogation. Je ne savais pas ce quil pensait réellement et
sil avait vraiment apprécié limpudeur et lintensité des ébats que nous avions eu sa
femme et moi, une demi-heure plus tôt. Mais à voir son sourire, il me semblait quil
ne pouvait pas y avoir de mauvaises pensées dans sa tête.
Il nous servit, toujours en silence, le hors duvre - riche et présenté de manière
très esthétique, comme laurait fait un cuisinier de grand restaurant - quil avait
préparé et, du regard et de la main, nous invita à manger.
vraiment étrange. Aucun de nous trois nosait rompre le silence qui sétait installé
entre nous. Cétait comme si aucun de nous ne savait quoi dire, qui serait naturel. La
situation était exceptionnelle: Farida et moi étions amants ; Salah, le mari, le
savait, approuvait et encourageait; mais cétait la première fois que nos ébats se
déroulaient dans le foyer même du couple; en présence même discrète du mari. A la
fin du hors duvre, Salah se leva, pour débarrasser et passer à la suite. Ce fut lui
qui mit fin au silence pesant :
- Cétait bon ? Je vous ai préparé un rôti de veau pour la suite, vous men
direz des nouvelles ! Tu veux encore un peu de vin ?
Il sétait adressé à moi avec douceur, son sourire énigmatique toujours posé sur ses
lèvres. Il avait en effet posé la bouteille de vin rouge sur la table et nous avait
servi à lui et à moi un premier verre, que nous avions sifflé (surtout moi, qui
cherchait à prendre de lassurance dans un peu dalcool) pendant le hors duvre.
Jacquiesçai en le remerciant. Il remplit mon verre et alla sortir du four le fameux
rôti de veau, quil posa au milieu de la table quil venait de débarrasser. Le fumet
qui se dégageait était super agréable. Salah était effectivement un cuisinier hors
pair.
- Allez-y, régalez-vous ! Farida te dira que je cuisine très bien et que depuis
ma maladie - et lobligation qui mest faite de rester à la maison - cest toujours
moi qui cuisine.
Nous nous mîmes à manger son rôti vraiment excellent mais cette fois-ci en brisant
le silence. En fait, ce furent Farida et Salah qui parlèrent. Moi je ne faisais
quécouter et répondre par oui et par non aux questions qui métaient posées
directement. Malgré que je fusse persuadé que Salah prenait très bien les choses, la
situation ne me paraissait pas naturelle.
qui était en son pouvoir pour mintégrer à leur conversation. Javais, pour manger,
lâché la main de Farida que je tenais dans la mienne. A chaque fois que jarrêtais de
manger, elle sappliquait à la reprendre et à la serrer très fort dans la sienne,
presque pour me rassurer et mencourager. Je ne me détendis réellement, quà la fin du
repas, quand Salah nous servit en guise de dessert un délicieux gâteau une tarte au
citron quil disait avoir préparé spécialement pour moi, Farida lui ayant appris
auparavant que cétait mon dessert préféré. Je le remerciais en lui faisant des
compliments sur ses capacités de cuisinier et de pâtissier.
Nous passâmes au salon et nous entamâmes une discussion sur beaucoup de thèmes
politique, économique et surtout sur nos goûts réciproques en matière de culture. Il
me disait adorer les chansons/poèmes de Georges Brassens et de Jaques Brel. Mais aussi
quil adorait le barde kabyle Lounis Ait Menguelet. Il nen fallu pas plus pour me
transformer en moulin à paroles. Jaimais moi aussi la chanson à texte française et
algérienne, et lancé sur ce sujet, jétais vraiment intarissable. Nous échangeâmes
pendant prés dune demi-heure sur le thème de la misogynie vraie ou supposée de Brel
et de Brassens et la poésie paysanne dAit Menguelet. Farida se sentit larguée et nous
laissa échanger tous les deux. Elle partit vers la chambre à coucher, en nous disant
quelle allait se changer.
Quand elle revint, une dizaine de minutes plus tard, elle nous trouva en grande
discussion et riant comme des s en essayant de chanter ni lui ni moi, navions
de belles voix pour chanter juste et bien - quelques unes des chansons des trois
chanteurs que nous évoquions. Il avait profité de labsence de Farida, pour ramener un
fond de bouteille de whisky et nous servit deux petites doses.
interdit, et Farida surveillait de très près sa consommation. Mais là, elle ne dit
rien. Elle se mit debout en face de nous pour se faire admirer. Elle avait revêtu une
petite nuisette transparente, et ne portait rien au dessous. Elle était magnifique !
Même Salah, ne put sempêcher de siffler dadmiration.
- Tu es encore plus belle que dhabitude ! Dommage que ce ne soit pas pour moi
que tu tes habillée comme cela !
- Si cest aussi pour toi ! Viens membrasser !
Il se leva dun bond et la pris dans ses bras, la serra très fort tout en la
soulevant du sol. Il lembrassa longuement sur la bouche avant de la reposer par terre
en lui disant quelque chose à loreille, que je ne pus entendre. Et il sen retourna
vers la cuisine, en me lançant un clin dil au passage et me disant quil espérait
que jallais passer la nuit avec eux. Farida vint vers moi, avec son sourire de femme
heureuse. Elle se blottit dans mes bras et tout en membrassant partout sur le visage,
elle me dit :
- Nest-ce pas quil est merveilleux ? Tu sais ce quil ma dit à loreille ?
Que javais de la chance davoir un amant comme toi ! Quil nous avait vu baiser tout
à lheure et quil comprenait que je tenais tant à toi ! Et avant de retourner dans la
cuisine faire la vaisselle et ranger, il ma demandé de temmener avec moi dans la
chambre et que plus tard, il nous rejoindra pour que lon dorme ensemble.
- Quoi ? Il ta dit tout ça en une seule phrase ?
- Non il ma seulement dit quil nous à vu baiser et quil nous rejoindra dans
la chambre, mais tout le reste il me lavait déjà dit auparavant. Allons dans la
chambre !
Elle me tourna le dos et me précéda en balançant, de manière encore plus impudique que
dhabitude, son superbe cul. Elle était toute nue sous sa nuisette et le spectacle que
javais sous les yeux provoquait une réaction physico-chimique insoutenable.
remis à bander comme un âne et neus plus en tête quune seule idée : enculer ma mie.
La ceinture de la sortie de bain que je portais était faite du même tissu éponge que
lhabit lui-même. Je louvris en tirant brusquement sur lun de ses bouts et me
retrouvai le sexe à lair libre, dressé tel un sabre prêt à pourfendre le cul de ma
belle. A peine la porte de la chambre passée, je luis sautai littéralement dessus. Je
la pris par la taille et la collai contre moi. Elle avait les fesses plus bas que mon
pubis. Je pliai un peu les genoux pour mettre mon sexe au bon niveau. Elle ressentit
immédiatement la présence frémissante de mon manche qui voulait sinsinuer entre ses
fesses, sous le fin tissu de soie de sa nuisette. Elle tourna un peu la tête pour
tenter dapercevoir le monstre qui cherchait à prendre possession delle. Pour
mexciter encore plus, elle se mit à frotter son derrière contre lui, tirant de moi un
début de gémissement de plaisir. La douceur de la soie, mélangée à la fermeté de ses
chairs, avait augmenté lintensité de mon excitation. Je me disais que si elle
narrêtait pas de bouger ainsi, jallais éjaculer sur sa nuisette. Ce que je ne
voulais pas.
- Rayah en-nikek melour ! Nedjbed el-gaz men ga3rek! Ou nikek fel-ardh! (Je vais
te baiser par derrière ! Je vais tirer du gaz de ton cul ! Et je te baiserai par terre
!)
- Fel ardh ! Ach-hal en-heb en-nik fel ardh ! Ghaouel edjbedni ! (Par terre !
Jadore baiser par terre ! Fais vite, tire-moi !)
Elle se mit immédiatement à quatre pattes par terre. Elle tourna la tête vers moi pour
voir ce que jallais faire. Jécartais les pans de ma sortie de bain et pris mon
manche dans ma main droite. Elle me regardait avec ses yeux brillant de désir. Je me
mis à genoux derrière elle et entrepris de poser le gland de mon sexe entre ses
fesses, avec la volonté de la tirer ainsi sans préparation et sans lubrification. Elle
avait deviné mes intentions et marrêta net en me disant de le mouiller.
- Chemkhouh ! Ma etnik-nich hakdha bla ma techemkhouh ! Yewdja3ni bezzaf !
Ebzak fougou, wa foug ga3ri ! Bach teshal-lou dakhla ! (Mouille-le! Ne me nique pas
sans le mouiller! Crache-lui dessus et crache sur mon trou ! Pour lui faciliter
lentrée !)
Un peu penaud de mêtre fait attr ainsi, je crachais sur ma main pour enduire le
gland de mon manche de salive. Je refis plusieurs fois lopération jusque quà ce que
tout mon sexe soit complètement mouillé. Je crachai ensuite sur lanneau de son anus
en étalant la salive avec deux doigts, essayant de les faire entrer à lintérieur. Ce
fut elle qui arrêta la préparation et mordonna de la prendre.
- Nik-ni ! Dekhelhou-li ! Edjbedni ! (Baise-moi ! Pénètre-moi ! Tire-moi !)
.../
Elle était superbe dans cette position tellement impudique, sa croupe de pouliche
remontée, offrant à mes yeux exorbités le magnifique spectacle dun cul offert à ma
concupiscence. Son anus sombre palpitait au rythme du pouls de son cur. Elle avait un
anneau légèrement ouvert par toutes les sodomisations quelle à subies auparavant,
dont les miennes mais il avait encore toute lélasticité dun cul de jeune fille.
Lanneau serrait fortement mes doigts enduits de salive, qui cherchaient à le
lubrifier. Javais déjà enculé Farida par le passé. Plutôt plusieurs fois quune. Et
mon zob avait toujours été heureux dans le ce tunnel le moulait à la perfection. Il
avait toujours été chaud, humide et doux. A chaque fois, cétait un délice de
lenculer en force, comme je comptais le faire en ce moment.
Chaque fois que je lavais enculée, même après une longue lubrification, je la faisais
crier de douleur. Et pour le pervers que je devenais en ces moments là, cela
accroissait encore plus lintensité du plaisir que je prenais en elle et me faisait
jouir encore plus intensément. Et de fait, cette fois-ci aussi, je my pris avec elle
comme une brute. La brute qui sommeillait en moi et qui ressortait invariablement dans
ces moments de trop forte excitation. Hypocritement, je me disais que les quelques
gouttes de salive que javais mises sur mon manche et sur son anus suffisaient à
atténuer la douleur de la pénétration. Je me positionnais donc derrière elle, la pris
par les hanches pour lui faire relever encore plus haut le bassin, afin de le mettre à
la bonne hauteur et lui enfonçait ma queue, dune seule poussée, jusquau plus profond
de son boyau. Immédiatement, elle eut un énorme cri de douleur, au moment où mon
gland, trop large, avait traversé lanneau palpitant. Je narrêtais pas la poussée
pour permettre à la douleur de satténuer. Au contraire, jallais immédiatement
jusquau fond pour revenir vers la sortie aussi vite. Je voulais lui faire mal, lui
faire sentir cette fois-ci encore, la force et la puissance de mon gourdin.
Inconsciemment, je voulais lui rappeler quelle était entrain de se faire tirer par un
homme. Un vrai. Cétait injuste pour mon ami Salah il était devenu mon ami, depuis
tout à lheure mais je voulais que Farida simprègne de cette idée, quil ny avait
que moi pour la tirer comme cela. Cétait de la prétention de ma part, mais je ny
pouvais rien. Cétait bien cela que je ressentais. De la puissance sexuelle ! Jétais
le maître de Farida, et il fallait le lui faire sentir ! Et quoi de mieux que de
lenculer comme cela, en force et en puissance, pour le lui démontrer. Cétait
certainement puéril de ma part, mais je ne pouvais men empêcher.
- Khoudi ya kelba ! Khoudhi yed el mahraz en-ta3 sidek fi ga3rek !! Gouli-li
en heb ki et-nikni hakdha ! Bezzour ! Bel qouwa ! (Prends espèce de chienne ! Prends
le pilon de ton maître dans ton cul ! Dis-moi que tu aimes quand je te baise comme
cela ! En force ! En puissance !)
- En-heb ! En-heb zeb fi ga3ri ! Zeb kbir ou khchine ! Zeb li yekessar koulech
fi trigou! Zeb li 3amrou yergoud! Ezzeb! Ezzeb! (Jadore! Jaime le zob dans mon cul!
Un zob grand et gros ! Un zob qui détruit tout sur son passage ! Un zob qui ne débande
jamais ! Un zob ! Un zob !)
Je lui faisais mal et elle aimait ! Elle se mit même à bouger ses hanches avec des
mouvements circulaires pour accompagner les furieux allers-retours de mon manche pour
mieux ressentir ses frottements sur la paroi de son rectum, qui allumaient un
véritable incendie dans son cul. El elle continuait de crier et de soliloquer :
- Yema ! Ach-hal mlihhadh zeb ! Ach-hal yewdja3ni ! Ach-hal yehrag ! Salah
chouf ezzeb en-ta3 çahbek! Ach-hal kbir! Ach-hal qwi! Goulou I zid I nik-ni bezzour!
Goulou ma yehbesch! Goulou I ferragh zel en-ta3ou fi ga3ri! (Maman ! Comme il est bon
ce zob ! Comme il me fait mal ! Salah, regarde le zob de ton ami ! Comme il est grand
! Comme il est puissant ! Dis-lui de continuer de me tirer en force ! Dis-lui de ne
pas arrêter ! Dis-lui de vider son sperme dans mon cul !)
Contrairement à moi, Farida navait pas oublié la présence de son mari dans la maison.
Elle semblait même tirer un surplus de plaisir de cette proximité. Je me rappelais
subitement, quelle mavait dit quelques minutes auparavant, que Salah nous avait vus
baiser tout à lheure. Il se pouvait donc quil soit entrain de mater la scène en ce
moment même. Jen ressentais un peu de gêne, mais cela nétais pas suffisant pour me
faire débander ou mempêcher de continuer denculer sa femme. Cétait trop bon !
Impossible darrêter avant la salve finale! Farida, par contre, semblait adorer lidée
que son mari la regarde se faire tirer par moi, ou tout au moins, écouter et entendre
toutes les insanités quelle lui hurlait, ainsi que les cris de plaisir quelle
poussait sous mes coups de boutoir. Elle donnait limpression de prendre encore plus
de plaisir en pensant quil était là, à la regarder prendre son pied avec son amant!
De temps en temps, elle tournait la tête pour essayer de lapercevoir. Elle ne vit
rien, mais continuait de hurler sa satisfaction de prendre son pied avec moi.
Ce nétait pas mon cas. Je crois que si je nétais pas tellement pris par le plaisir
dêtre en elle, et que je serais vraiment très frustré de ne pas aller au bout de ce
que jétais entrain dentreprendre dans le cul de ma belle, jaurai arrêté. Sauf
quengagé comme jétais et plus excité quun bouc, rien au monde naurait pu
marrêter. Tout ce qui comptait, cétait tout ce plaisir que je prenais que nous
prenions et qui était entrain de nous emmener Farida et moi bien au-delà du septième
ciel. Moi je ne dis plus rien, depuis quelle avait évoqué léventuelle présence de
son mari dans la chambre, ou à côté. Je me contentais de pousser des han deffort et
de plaisir, en bavant comme un escargot sur le dos de ma mie. Elle par contre était
déchainée. Elle hurlait encore plus fort ses phrases et ses mots destinés à son mari.
- Nhass zeb hmar fi ga3ri ! Nhebou ki yekessar-li ga3ri ! Salah, goul-lou
izid yedjbedni ! Salah arouah et-chouf-ni ! Arouah et-chouf Farida et-faregh !
Choufha tal3a le-sma ! Choufha, ga3rha i-ssil be-zzel ! (Je sens que jai un zob
dâne dans le cul ! Jadore quand il me détruit le cul ! Salah, dis lui de continuer
de me tirer ! Salah, viens me voir ! Viens voir Farida qui va décharger ! Viens la
voir monter au ciel ! Regarde la son cul qui coule de sperme !)
Nous en étions arrivés, Farida et moi, au sommet du plaisir ! Il nous était impossible
de nous retenir encore plus. Jaccélérais le mouvement de va-et-vient de mon sexe dans
son cul. Depuis quelque temps, je sortais totalement de son tunnel, pour prendre un
élan dune dizaine de centimètres avant dy retourner, ave encore plus de force et de
puissance. Je pilonnais toujours son anus telle une brute, en ahanant comme un
bûcheron. Et soudain, oubliant jusquà léventuelle présence de son mari, je me mis à
crier aussi fort quelle et de manière aussi impudique. Je lui hurlais quelle était
bonne ! Quelle avait un cul denfer ! Que jadorais baiser les femmes par derrière !
Quelle avait le plus beau derrière de toutes les femmes ! Que son anus était
tellement moulant, que mon zob voulait en faire son nid pour toujours ! Et plein
dautres gentillesses du même genre, dictées par lexcitation, le plaisir et la
jouissance.
- Nhab gaârek ! En-mout aâla gaârek ! Nhab hlouwtou ! Zebi i mout aâlih !
Zebi çab darou fi gaârek ! (Jaime ton cul ! Jadore ton cul ! Jaime sa douceur ! Mon
zob ladore ! Il a trouvé sa maison dans ton cul!)
Et nous partîmes Farida et moi, en même temps, dans un énorme orgasme, qui me fit
décharger une tonne de sperme dans le cul de ma belle. Le sperme ressortit expulsé par
leffet de pompage de mon sexe qui continuait daller et venir dans le boyau, toujours
aussi furieusement. Farida poussa un long cri, aigu et strident, qui dura tout le
temps de son orgasme. Un orgasme plus violent que le précédent, qui fit couler de sa
chatte des litres de jus qui allèrent se mêler à mon sperme étalé par terre en dessous
nous. Nous narrêtâmes de couiner notre plaisir quau moment où nous faillîmes
, par manque dair. Fourbue, elle se laissa tomber sur le sol, avec moi,
toujours accroché à son dos. Nous étions aux anges. Nous restâmes plusieurs minutes
ainsi : elle, allongée à même le sol et moi sur son dos, le sexe, toujours vigoureux,
enfoncé dans son cul.
/
Ce fut moi qui repris mes esprits le premier. Je sortis mon manche, encore en forme de
son cul, et vint me mettre à genoux au niveau de sa tête, attendant impatiemment
quelle reprenne ses esprits. Javais pris lhabitude, avec elle, de me faire sucer le
manche après lavoir enculée. Contrairement à beaucoup de mes maîtresses qui faisaient
une moue de dégoût chaque fois que jexigeais delles quelle me nettoie avec la
bouche, le manche sorti de leurs culs, Farida avait accepté cela sans protester. Je ne
crois pas quelle y trouvait un quelconque plaisir, mais à aucun moment elle ne le
montrait. Donc dès quelle sortit des nimbes dans lesquelles lavaient plongée nos
ébats, elle vit mon manche frémissant qui sapprochait de sa bouche. Elle le prit dans
sa main droite et sortit sa langue pour commencer le nettoyage.
Je ne sais pas si tous les hommes éprouvent le même bonheur à se faire lécher le sexe
par la femme quils viennent denculer, mais chez moi, cela me mettait toujours dans
un état de très forte jubilation. Surtout quand la femme en question, y mettait, comme
le faisait Farida, tout son cur à louvrage. Ses coups de langue, ses titillements,
le jeu de ses lèvres sur la hampe et sur les couilles et surtout, sa bouche chaude,
humide et douce, qui venait sempaler sur mon manche et qui faisait sur lui un torride
mouvement de va-et-vient, tout cela memmenait au paradis. Et me donnait envie de la
tirer une fois de plus. Mais par la bouche, cette fois-ci.
Farida savait combien jaimais la baiser par la bouche. Combien jadorais transformer
sa bouche en chatte ou en cul et la tirer, en force, de la même manière que sil
sagissait de lun de ses trous. Jadorai me faire sucer par mes maîtresses. Mais
jadorais encore plus transformer une belle fellation en une baise torride par la
bouche. Jai connu très peu de femmes qui aimaient ma manière dentreprendre leur
gorge et même au-delà. La plupart finissaient pas sy faire, mais je nen avais connue
aucune qui fût assez maso pour exiger de moi de la r ainsi. Farida ne faisait
pas exception : cétait une superbe suceuse et une excellente avaleuse de sperme. Elle
savait sy prendre pour me faire grimper aux rideaux en jouant de sa bouche, sa
langue, ses lèvres et même de lentrée de sa gorge pour faire monter la sauce, la
contenir un long moment avant de me faire tout lâcher à lintérieur de sa cavité
buccale, et à lextérieur pour sen enduire le visage, le cou et la poitrine. Elle
mavait fait jouir comme cela des dizaines de fois et javais adoré. Mais javais
adoré encore plus quand je prenais les rênes, lui attrapais la tête et la chevelure
fortement entre mes mains pour lempêcher de se retirer et la pilonnais avec force et
fureur, jusquà déverser dans sa gorge toute ma production de foutre. Je jubilais en
regardant ses yeux qui se remplissaient de larmes, ses joues qui devenaient toutes
rouges et ses narines et la commissure de ses lèvres qui dégoulinaient de morve et de
salive.
Et quand, vaincu par lintensité du plaisir qui me remplissait, je lâchais mes bordées
de foutre dans sa bouche et que je voyais celui-ci en ressortir par la commissure des
lèvres, je jubilais et trépignais de bonheur. Un bonheur sadique ! Le bonheur de faire
mal ! Et cette fois-ci, après quelle ait bien nettoyé mon manche et quil sétait mis
à frémir de désir de se faire sucer, je lui dis, que je voulais la baiser par la
bouche.
- Rayah en-nikek mel foum! (Je vais te baiser par la bouche !)
Farida ne répondit rien. Je vis quelle avait jeté un coup dil derrière moi, comme
si elle cherchait quelquun. Rassurée (je ne savais pas trop par quoi labsence ou
au contraire la présence de son mari), elle replongea sa tête sur mon bas-ventre et
engloutit mon manche. Elle poussa sa tête jusquau fond. Jusquà ce que sont front
vint cogner contre mon ventre. Je sentais mon sexe qui traversait, comme dans un rêve,
toute la distance et aller bien au-delà de la glotte et des amygdales. Elle neut ni
hoquet, ni envie de gerber. Depuis le temps, elle avait pris lhabitude de mon manche
allant lui titiller les cordes vocales. Elle nattendit même pas que, comme à mon
habitude, je latt violemment pas les cheveux pour lobliger à faire absolument
tout ce que je voulais. Elle le savait très bien et le faisait toute seule sans
contrainte. Comme une grande ! Elle faisait aller et venir de plus en plus vite sa
bouche sur mon manche. A chaque fois, elle tirait de moi un rugissement rauque de
plaisir. Et elle repartait en sens inverse. Le large chapeau de mon sexe, ramenait à
chaque fois toute la salive quil rencontrait sur son chemin. Elle ressortait de sa
bouche par la commissure des lèvres et allait sétaler en dessous de nous, sur le
carrelage. Un spectacle tellement érotique !
Cela ne mempêcha pas toutefois de réveiller le sadique qui sommeillait en moi et de
lattr par les cheveux et de tirer sur eux très fort afin daccroître lintensité
et la violence de la pénétration. Je lui faisais mal. Je le sentais à ses dents qui
avaient tendance à vouloir se refermer sur mon manche pour le mordre et mobliger
ainsi à lâcher du mou et arrêter de la maltraiter. Mais elle nalla pas jusquà cette
extrémité. Au contraire elle me laissa faire jusquau moment, où vaincu par son
savoir-faire, jexplosai une fois encore dans sa bouche. Jéjaculais tout le sperme
qui me restait, directement dans sa gorge, sa bouche et sur son visage. Elle avala le
tout, sans en laisser aucune goutte aller se perdre par terre. Farida était devenue
une experte dans lart davaler mon sperme, tout en me regardant avec ses petits yeux
de vicieuse satisfaite et en se léchant bruyamment les doigts.
- Salah, wach et-goul a3la martek ? Cheft kiffach techrab ezzal ? Kiffach et-
bela3 zeb khchine ki en-ta3 le-hmar? (Salah, quest-ce que tu dis de ta femme ? Tu as
vu comment elle boit le sperme ? Comment elle avale un zob aussi gros que celui dun
âne ?)
Jétais soudains pris par un vent de panique. Salah était donc dans la chambre avec
nous et avait assisté à toute la scène ! Non pas que javais peur dune réaction
violente de sa part. Il semblait avoir accepté une fois pour toutes sa condition de
cocu. Je crois même quil y éprouvait du réconfort, et peut-être même du plaisir.
Réconfort de voir sa femme heureuse de prendre son pied, même avec un autre homme. Et
peut-être du plaisir, parce que sa libido se réveillait quelque peu dans le spectacle
que lui offrait sa femme entre les bras dun homme qui en faisait sa chienne. Jétais
un peu paniqué parce que je ne savais absolument quoi lui dire et quelle attitude
prendre.
Jétais toujours debout devant Farida à genoux, tournant le dos à la porte dentrée de
la chambre. Mon amante avait retiré sa tête de mon pubis et regardait du côté de la
porte. Je la voyais qui avait posé un superbe sourire sur ses lèvres et avait plissé
les yeux pour mieux voir son mari. Je devinais quil était debout, adossé contre la
porte et quil regardait vers nous. Je ne savais pas quel air il avait sur son visage.
Sil avait gardé le sourire, si ses yeux étaient gais ou tristes. Et puis jentendis
sa voix, toujours aussi douce et chaude.
- Je crois que tu as trouvé le maître que tu cherchais depuis toujours. Je crois
quil est encore mieux que mo
il y a bien longtemps. Viens membrasser !
Ouf ! fis-je en moi-même. Salah acceptait et assumait totalement sa situation de cocu.
Il me le faisait savoir, en embrassant tendrement sa femme et en la caressant pendant
un temps qui me parut très long. Puis il la souleva de terre et lemmena vers le lit
sur lequel il la jeta et alla sallonger auprès delle. Moi jétais toujours debout
au bord du lit, ne sachant pas trop quoi faire. Je les regardais un long moment qui
sembrassaient. En fait cétait lui qui lembrassait sur tout le visage, le cou et sur
ses seins. Elle roucoulait de plaisir. Il me sembla même quelle avait oublié jusquà
ma présence. Elle gigotait sous les caresses et les baisers de son mari.
- Barka ! Ma et-khalatch fiya ! Dhork en-wali en-sil ! Ou kifach en-dirou !
(Arrête ! Arrête de mexciter ! Je vais me mettre à couler ! Et après quest-ce quon
va pouvoir faire ?)
- Yedji yenikak mara oukhra ! (Il viendra te tirer une fois de plus !)
Et cest reparti ! Salah continua de titiller ainsi sa femme, réveillant en elle son
désir, un peu endormi après les jouissances répétées quelle avait eues avec moi. Il
la caressa longuement, tout en continuant de lembrasser avec chaleur sur les épaules
et le cou. Je voyais les yeux de Farida commencer à se voiler. Je connaissais cet air.
Ma mie était entrain de monter dans le désir. Elle bandait ! Surtout que les caresses
de Salah se faisaient plus insistantes et se rapprochait de son jardin intime. Elle
ny tenait plus et pris soudain la main de son mari, la porta à son pubis, puis
lobligea à aller plus bas. Elle fit pénétrer les doigts de la main entre ses grandes
lèvres et les obligea à la masturber avec fureur. Je la voyais qui tendait tous les
muscles de son corps pour mieux être à lécoute du plaisir qui commençait à la
transporter.
- Salah, nik martek ! Nikha kima bekri! (Salah, baise ta femme! Baise-la comme
avant !)
Salah ne répondit pas, mais accéléra le mouvement de va-et-vient de ses doigts dans la
chatte de sa femme. Il lembrassa sur la bouche et approcha sa bouche de loreille
gauche de sa femme. Il lui dit quelque chose que je nentendis pas. Farida se mit
immédiatement à rire comme une folle.
- Bright takoul-li saouwti ! Koulha! El hass-ha! Rahi lik! Ki et-kemal,
houa i-nik-ni! (Tu veux me bouffer la chatte ! Bouffe-la ! Lèche-la ! Elle est à toi
! Et tu finiras, lui il me baisera !)
Et cest reparti pour un tour ! Cette fois-ci, à trois. Salah appliqua à sa femme un
cunnilingus denfer. Un cunnilingus dont jaurais pu être jaloux, tant il savait sy
prendre. Il léchait, suçait, embrassait, mordait son petit clito ferme et bombé et
envoyait sa langue au fond du vagin. Farida gigotait, bougeait ses hanches et les
remontait le plus haut quelle pouvait, pour garder le contact avec la bouche, les
lèvres et la langue de son mari. Elle gigotait de plus en plus fort. Sa tête partait
dans tous les sens. Elle narrivait plus à la retenir. Le spectacle que javais sous
les yeux était vraiment affriolant. Lhomme mettait tout son cur et son énergie à
porter le désir de sa femme au plus haut niveau. La femme, par ses petits cris de
plaisir et les mouvements désordonnés de tout son corps, montrait à son mari combien
il lui faisait de bien, en lui suçant ainsi la chatte, avec autant de passion et de
savoir-faire. Cela dura longtemps. Salah savait vraiment sy prendre pour faire monter
le désir de sa femme jusquaux plus hauts sommets. Javais pourtant remarqué, quà
chaque fois quil la sentait sur le point de décharger, il ralentissait le rythme de
ses suçons et la laissait redescendre avant de repartir de plus belle. Dévidence, il
ne voulait pas quelle jouisse comme cela, avec sa bouche.
Au bout dune éternité, pendant laquelle jétais resté debout au bord du lit, comme
pétrifié par le spectacle torride que le couple moffrait, le manche aussi tendu quun
sabre, Salah arrêta le cunnilingus et, en se retournant vers moi, me dit :
- Rahi lik ! (Elle est à toi !)
Et après avoir embrassé encore plus tendrement sa femme, il me céda la place. Farida
me regarda avec ses petits yeux brillant de bonheur et tendit les bras pour me
recevoir. Et nous fîmes lamour, cette fois-ci tendrement et en douceur. Comme si nous
navions plus besoin de la fureur qui sétait emparée de nous depuis que nous avions
commencé à faire lamour. Depuis que nous nous connaissions, nous navions encore
jamais fait lamour comme cela : tendrement. Et même lorgasme que nous eûmes après
plus dun quart dheure dun coït dune sérénité inconnue jusque là, navait rien de
commun avec les précédents. Il avait perdu de son animalité et de sa sauvagerie. Il
était rempli de tendresse. Et nous remplit dun vrai bonheur damoureux.
Cette nuit là nous la passâmes tous les trois au lit. Farida sétait allongée,
toujours aussi nue quun ver, entre Salah et moi. Son mari avait sur le visage lair
reposé et serein dun homme vraiment heureux. Heureux dêtre avec sa femme et heureux
du bonheur quelle vivait avec lui et moi. Il avait gardé sur ses lèvres son sourire
énigmatique, que maintenant, jinterprétais comme celui dun homme qui avait fini par
trouver la solution au grand problème de sa vie : comment garder le bonheur de son
couple, tout en permettant à son épouse frustrée par son impuissance sexuelle, de
vivre pleinement sa vie de femme. Jétais la solution du problème qui lui avait
empoisonné la vie pendant longtemps. Jétais lhomme qui, selon lui, avait toutes les
qualités - physiques et morales pour rendre heureuse sa femme, sans pour autant
déstabiliser leur vie de couple.
Notre couple à trois dura longtemps. Nous avions lhabitude de nous retrouver
régulièrement dans la maison du couple et de nous laisser aller à nos pulsions
érotiques. Nous vécûmes dans cette maison des moments de vrai bonheur et félicité
sexuelle. Salah, nous laissait faire, Farida et moi, tout ce qui nous passait par la
tête en matière dérotisme. Il participait parfois directement à nos ébats, en
embrassant, caressant, suçant et branlant sa femme. Et chaque fois, il montrait un air
satisfait quand je la finissais, en la faisant montrer au septième ciel. Et quand
Rayan, leur fils, revenait de ses traversées, et quil reprenait sa chambre, nous
nous rencontrions, Farida et moi (sans Salah, qui navait encore jamais mis les pieds
dans mon appartement de célibataire) chez moi.
A deux ou à trois, Farida et moi, avions mené tout ce temps là, la vie rêvée damants
toujours amoureux et toujours heureux dêtre ensemble. Et puis, un jour, Farida, vint
mannoncer quelle allait marier son fils Rayan. Mais ceci est une autre histoire.
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